Ce qui me touche le plus, c'est la scène où Nathalie a discuté, ou bien plutôt disputé avec son "chouchou" élève, sur la radicalité. Oui Nathalie a été aussi radicale pendant la jeunesse (ayant été communiste). Du coup, la jeunesse s'accompagne toujours de la radicalité, de l'engagement ? Lorsque l'on entre dans la société, on a notre travail, on établit la famille, ou bien, plus optimiste, on entre dans une classe aisée, genre classe moyenne, on devient "intellectuel", on est plus mâture avec des jugements, de la sagesse, mais à ce moment-là, notre radicalité se pert progressivement. Est-ce que c'est une fatalité ?